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Islande – Hautes-terres, Landmannalaugar & cercle d’or

Un condensé du sud-ouest islandais

En 2017, je suis parti pour une seconde fois en islande : 15 jours à vadrouiller tout autour de l’île, dans les spots les plus connus. 

Période

Septembre 2017

Distance

500 km

Durée

3 jours

Vu le peu de temps à disposition, les lieux se sont enchaînés un peu rapidement. Ainsi, je n’ai eu qu’une journée pour traverser les hautes terres par la piste F35, un autre dans le Landamannalaugar et enfin un dernier dans le cercle d’or, ensemble de lieux prisés des touristes. 

Mon premier voyage s’était passé en juillet 2012. La période “facile” pour découvrir le pays à mon sens. Pour ce second voyage, c’est l’automne, avec un changement d’ambiance et la possibilité de voir les premières aurores boréales ! Avec le recul, je suis presque autant frustré par ce timing serré que la première fois… et ça me donne encore plus envie de retourner là-bas pour visiter plus tranquillement certains lieux… !

Le plateau d'emparis
Un vautour planant au-dessus du plateau d'emparis
Coucher de soleil au plateau d'Emparis

Après un début de séjour le long de la route 1, en passant par le sud, l’est et le lac Myvatn, la suite me fait redescendre à travers les hautes terres par la F35. 

Les hautes terres sont un immense désert au centre de l’Islande. À part de la mousse, on y trouve surtout de grandes étendues de roches et de sable… C’est une ambiance lunaire que l’on peut voir dans de nombreux films, monotone mais dépaysant au possible ! Au loin les fumerolles indique la présence d’une forte activité volcanique.

Coucher de soleil au plateau d'Emparis
Le plateau d'Emparis sous la pleine lune

Direction le Landmannalaugar, sous la pluie

La fin de la F35 arrive directement à Gullfoss, cascade mythique du cercle d’or. Bien entendu, même si l’on est en septembre, il y a foule… C’est vraiment ce qui m’a le plus choqué en revenant en islande. Le fait qu’il y ait autant de monde en pleine saison 2012 qu’en hors saison 2017. Tous les spots touristiques sont maintenant aménagés, pour éviter que les visiteurs ne marchent n’importe où et détruisent la flore. La conséquence d’une mode, de la popularité de l’islande dans les agences de voyage et les réseaux sociaux. 

Je reprend ensuite la route pour le Landmannalaugar. Un coin incroyable, incroyablement vide, mais avec des montagnes colorés epoustouflantes. Malheureusement la pluie est là, une averse qui m’oblige à raccourcir la rando prévue. La route elle-même vaut tout de même le détour et je m’arrête toutes les 5 minutes pour prendre une nouveau mont, une plaine, un volcan en photo. J’adore vraiment ces ambiances de bout du monde. Je m’amuse à rouler dans les flaques qui recouvrent le 4×4. Bon, pas trop non plus puisque j’apprends rapidement que des rochers peuvent se cacher sous l’eau…

Je retourne dans le cercle d’or pour continuer la visite des lieux touristiques. Sur la route, je traîne et découvre quelques endroits fort sympathiques non prévus, simplement en suivant d’autres voitures de touristes sur des pistes ! 

Passage obligé à Geyzir et Thingvellir puis je continu la suite de mon voyage, vers la péninsule Snæfellsnes et mes premières aurores boréales ! Mais ce sera pour un autre article 😉

Coucher de soleil au plateau d'Emparis
Le plateau d'Emparis sous la pleine lune
Le plateau d'emparis
Coucher de soleil au plateau d'Emparis
Le plateau d'emparis
Coucher de soleil au plateau d'Emparis

Automne

Printemps

Le dauphiné depuis le col de l'épine

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